La petite histoire du Kot de la Liberté

Il était une fois, 13 chevaliers et chevalières en armures scintilantes de milles feux. De leur périples, s'étaient enrichis, de leurs recontres ils avaient grandi. Revenant de lointains horizons convergèrent vers un endroit où ils pourraient trouver paix et sérénité.n'est-ce pas?
Et Jean-Eva dit : Merde! C'est le Kot de la Liberté, les Doudous!

Carte du monde pour savoir c'est où qu'on est !


Afficher Carte Arthur sur une carte plus grande

pour ou contre le lait ?

ETYMOLOGIE DU MOT "KOT"

Un KOT (ou kotje, petit kot) est un logement privé loué à des étudiants pendant l'année scolaire en Belgique. Le mot vient du flamand et signifie petit abri, niche, cabane (comme dans friet kot ou kot à poule) ou même encore taudis.

Ce belgicisme désigne au départ un placard (kot à balais) et par extension toute petite pièce comme une chambre d'étudiant, mettant en exergue l'exiguïté généralement rencontrée dans de tels logements. Ces kots sont soit individuels, soit font partie de logements communautaires, rassemblés autour d'une partie commune, appelée familièrement commu.
De ce terme dérivent : le verbe kotter, qui signifie louer et habiter, souvent durant la semaine uniquement, un kot; les noms kotteur et kotteuse qui réfèrent au locataire d'un kot et les noms cokotteur (ou cokotier) et cokotteuse (ou cokotière), qui signifient colocataire.

Certains kots communautaires sont réunis autour d'un projet. Ces projets fort variés peuvent être l'organisation d'un spaghetti hebdomadaire, l'aide à une école de devoirs ou à une institution humanitaire, avec comme seule limite l'imagination et la capacité à fédérer. On appelle un tel groupement de kots un kot à projet.

Homonymie:

En Allemand, "Kot" désigne la matière fécale.
K.O.T. est l'abréviation de Kings Of Tomorrow, duo de House américain.
En Russe, " Kot" signifie le chat; matou (fam).

samedi 19 juillet 2008

Les Mystère de la P'chette jaune...

Bonjour Bande De Petits Malinus,

Les Mystère de la P'chette jaune...
Si cela peut nous aider, je me porte témoin. Je lève ma main gauche et jure devant le Diable de mentir jusqu'ase que mort s'en suive. Bon! mais revenons en aux faits, et rien qu'aux faits.

L'action se déroule avant mon départ mouvementé du Kot mouvementé: danslanuit du 10 au11 juin 2008. Alors que je regardais, à travers le trou de la serrure des toilettes dans l'espoir de voir M. Jean-Flous en train de faire caca, je surpris une drôle de conversation qui venait de la cuisine vide. Les voix résonnaient. Dans un pemier temps je n'y prétais guère attention tant les ploufs ploufs du caca de M.Jean-Flous nécessitait ma concentration.
C'est alors qu'un mot qui interpellerai tout esprit sain, m'interpella. Texto:

-"...nnian niahdha.... LA P'CHETTE JAUNE .... niqsqlkaio........"


Mon attention glissa le long des murs pour atterrir sur M. Mickael et Mlle Ausias, debout dans le lavabo en pleine discussion avec Jean Souris. Ils étaient en train de comploter, c'est certain M. Le Procureur !
Je me demande très franchement, M. Le Procureur pourquoi ces deux individus se sont cacher dans la cuisine pour parler à Jean souris ! pourquoi dans cuisine ?

Je crains que quelque chose de louche ne soit arrivé ce soir là.

En tant qu'exkokoteur, j'attends des explications ......

tutur

samedi 12 juillet 2008

Dans la jungle lyonnaise, le Kot est mort hier soir!

Hé oui, la fin du Kot, Kot, Kot, Coloc!

Ainsi va la vie, riche de rencontres, de sentiments..


La seule chose que je tenais à vous dire, c'est:

Sur la longue route,
Qui menait vers vous,
Sur la longue route,
J'allais le cœur fou,
Le vent de septembre,
Me gelait au cou,
Qu'importait décembre,
Si c'était pour vous,
Elle fut longue la route,
Mais je l'ai faite, la route,
Celle-là, qui menait jusqu'à vous,
Et je ne suis pas parjure,
Si ce soir, je vous jure,
Que, pour vous, je l'eus faite à genoux,
Il en eut fallu bien d'autres,
Que quelques mauvais apôtres,
Que l'hiver ou la neige à mon cou,
Pour que je perde patience,
Et j'ai calmé ma violence,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...

Les temps d'hiver et d'automne,
Mon Dieu, que j'avais besoin de vous,
Oui, je vous fus infidèle,
Mais vous revenais quand même,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...

J'ai pleuré mes larmes,
Mais qu'il me fut doux,
Oh, qu'il me fut doux,
Ce premier sourire de vous,
Et pour une larme,
Qui venait de vous,
J'ai pleuré d'amour,
Vous souvenez-vous ?
Ce fut, un soir, en septembre,
Vous étiez venus m'attendre,
Ici même, vous en souvenez-vous ?
A vous regarder sourire,
A vous aimer, sans rien dire,
C'est là que j'ai compris, tout à coup,
J'avais fini mon voyage,
Et j'ai posé mes bagages,
Vous étiez venus au rendez-vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je tenais à vous le dire,
Ce soir je vous remercie de vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je suis venue pour vous dire,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...