Bonjour Bande De Petits Malinus,
Les Mystère de la P'chette jaune...
Si cela peut nous aider, je me porte témoin. Je lève ma main gauche et jure devant le Diable de mentir jusqu'ase que mort s'en suive. Bon! mais revenons en aux faits, et rien qu'aux faits.
L'action se déroule avant mon départ mouvementé du Kot mouvementé: danslanuit du 10 au11 juin 2008. Alors que je regardais, à travers le trou de la serrure des toilettes dans l'espoir de voir M. Jean-Flous en train de faire caca, je surpris une drôle de conversation qui venait de la cuisine vide. Les voix résonnaient. Dans un pemier temps je n'y prétais guère attention tant les ploufs ploufs du caca de M.Jean-Flous nécessitait ma concentration.
C'est alors qu'un mot qui interpellerai tout esprit sain, m'interpella. Texto:
-"...nnian niahdha.... LA P'CHETTE JAUNE .... niqsqlkaio........"
Mon attention glissa le long des murs pour atterrir sur M. Mickael et Mlle Ausias, debout dans le lavabo en pleine discussion avec Jean Souris. Ils étaient en train de comploter, c'est certain M. Le Procureur !
Je me demande très franchement, M. Le Procureur pourquoi ces deux individus se sont cacher dans la cuisine pour parler à Jean souris ! pourquoi dans cuisine ?
Je crains que quelque chose de louche ne soit arrivé ce soir là.
En tant qu'exkokoteur, j'attends des explications ......
tutur
samedi 19 juillet 2008
samedi 12 juillet 2008
Dans la jungle lyonnaise, le Kot est mort hier soir!
Hé oui, la fin du Kot, Kot, Kot, Coloc!
Ainsi va la vie, riche de rencontres, de sentiments..
Ainsi va la vie, riche de rencontres, de sentiments..
La seule chose que je tenais à vous dire, c'est:
Sur la longue route,
Qui menait vers vous,
Sur la longue route,
J'allais le cœur fou,
Le vent de septembre,
Me gelait au cou,
Qu'importait décembre,
Si c'était pour vous,
Elle fut longue la route,
Mais je l'ai faite, la route,
Celle-là, qui menait jusqu'à vous,
Et je ne suis pas parjure,
Si ce soir, je vous jure,
Que, pour vous, je l'eus faite à genoux,
Il en eut fallu bien d'autres,
Que quelques mauvais apôtres,
Que l'hiver ou la neige à mon cou,
Pour que je perde patience,
Et j'ai calmé ma violence,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
Les temps d'hiver et d'automne,
Mon Dieu, que j'avais besoin de vous,
Oui, je vous fus infidèle,
Mais vous revenais quand même,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
J'ai pleuré mes larmes,
Mais qu'il me fut doux,
Oh, qu'il me fut doux,
Ce premier sourire de vous,
Et pour une larme,
Qui venait de vous,
J'ai pleuré d'amour,
Vous souvenez-vous ?
Ce fut, un soir, en septembre,
Vous étiez venus m'attendre,
Ici même, vous en souvenez-vous ?
A vous regarder sourire,
A vous aimer, sans rien dire,
C'est là que j'ai compris, tout à coup,
J'avais fini mon voyage,
Et j'ai posé mes bagages,
Vous étiez venus au rendez-vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je tenais à vous le dire,
Ce soir je vous remercie de vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je suis venue pour vous dire,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
Sur la longue route,
Qui menait vers vous,
Sur la longue route,
J'allais le cœur fou,
Le vent de septembre,
Me gelait au cou,
Qu'importait décembre,
Si c'était pour vous,
Elle fut longue la route,
Mais je l'ai faite, la route,
Celle-là, qui menait jusqu'à vous,
Et je ne suis pas parjure,
Si ce soir, je vous jure,
Que, pour vous, je l'eus faite à genoux,
Il en eut fallu bien d'autres,
Que quelques mauvais apôtres,
Que l'hiver ou la neige à mon cou,
Pour que je perde patience,
Et j'ai calmé ma violence,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
Les temps d'hiver et d'automne,
Mon Dieu, que j'avais besoin de vous,
Oui, je vous fus infidèle,
Mais vous revenais quand même,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
J'ai pleuré mes larmes,
Mais qu'il me fut doux,
Oh, qu'il me fut doux,
Ce premier sourire de vous,
Et pour une larme,
Qui venait de vous,
J'ai pleuré d'amour,
Vous souvenez-vous ?
Ce fut, un soir, en septembre,
Vous étiez venus m'attendre,
Ici même, vous en souvenez-vous ?
A vous regarder sourire,
A vous aimer, sans rien dire,
C'est là que j'ai compris, tout à coup,
J'avais fini mon voyage,
Et j'ai posé mes bagages,
Vous étiez venus au rendez-vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je tenais à vous le dire,
Ce soir je vous remercie de vous,
Qu'importe ce qu'on peut en dire,
Je suis venue pour vous dire,
Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous...
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